Le CEP publie son nouveau Rapport d’activité
Adopté en séance plénière le 12 juin dernier, le nouveau Rapport d’activité du Conseil de l’Ethique Publicitaire (CEP) présente les trois Avis adoptés en 2014 :
- Publiphobie, attitude des citoyens face à la publicité ;
- Réseaux sociaux, communication privée/publique ;
- Publicité et éducation.
Deux nouveaux avis sont en finalisation :
- Comprendre l’autorégulation ;
- Les fausses vertus du blocage publicitaire.
L’ensemble des 22 avis publiés par le CEP depuis sa création, en 2005, vont être réunis dans un ouvrage, qui paraîtra à l’automne 2015 (au Cherche-Midi éditeur).
Par cette publication, le CEP clôturera sa première étape, qui fut consacrée à une réflexion sur des sujets très directement reliés à l’activité quotidienne des publicitaires. Au cours de ces 10 années, le CEP a, en effet, balayé la plupart des thèmes généraux, passant de l’image de la personne humaine à la diversité, de l’humour à l’environnement dans la publicité, mais aussi aux médias numériques et bien d’autres encore !
Cet ouvrage collectif, qui retracera également l’histoire de la communication publicitaire, analysée au prisme de l’autorégulation, présentera une conversation « à bâtons rompus » entre Dominique Wolton (CNRS), président du CEP depuis sa création, et Maurice Levy, PDG du Groupe Publicis, sur l’avenir de la communication publicitaire.
Le Conseil de l’Ethique Publicitaire regroupe 12 membres ; il est composé, à parité, de personnalités qualifiées et de membres représentant les professionnels (agences, annonceurs, médias).
En 2014, deux nouveaux membres ont rejoint cette instance :
- Fabienne Chol, Directrice Générale de l’Institut National de la Consommation (INC) ;
- Thierry Libaert, Responsable communication COP 21 groupe EDF, Membre du Comité Economique et Social Européen (CESE).
Le programme des travaux 2015/2016 s’annonce déjà chargé, comme l’indique le président du CEP : « …Nous devons inaugurer ce que j’appelle la « troisième mondialisation » : la cohabitation culturelle, c’est-à-dire le respect des points de vue, les identités, tout en les transcendant par des principes fondamentaux de l’universalisme… »
Lire l’édito de Dominique Wolton.
Paris, le 23 juin 2015