Ce premier rapport du Conseil rend compte de ses analyses sur deux questions sensibles qui lui ont été posées, portant, d’une part, sur l’image de la personne humaine dans la publicité et, d’autre part, sur
la représentation des minorités visibles dans la publicité. Indépendamment de ces premiers axes de réflexion, le CEP souhaitait profiter de l’occasion pour attirer l’attention de ses lecteurs – et des professionnels de la publicité – sur un sujet qui me semble de la plus haute importance et sur lequel le Conseil aura certainement à prendre position dans les mois à venir : celui de la “maltraitance” de la langue française en publicité.